Comme personne n’a écrit rien à propos de mon invitation
pour parler de votre pays, qui est même mon pays, je le ferai. J’ai déjà dit
que ce n’est pas une question de nationalisme, donc je vous raconterai ce que
j’aime de l’Espagne et de ses gens.
Tout d’abord, je vous dis que, à mon avis, la plus belle
ville de votre pays est Seville et juste après Cordoue, entre autres, bien sûr.
Je m’excuse camarades parce que je sais que la plupart sont nés à Valladolid,
mais si bien je la trouve facile à vivre, je déteste le froid, je le souffre
vraiment. Je crois que le climat continental, ce n’est pas pour moi.
Bon, je commence. Tout le monde dit que l’Espagne est le
pays de la fête, des taureaux, du soleil et de l’alcool. Même si je trouve tout
ça vrai, ce que j’aime de l’Espagne, c’est sa diversité culturelle et son langage.
Par exemple il y a quatre langues officielles : l’espagnol, le catalan, le
gallego et l'euskera. Mais cette diversité est aussi un problème parce qu’il y
a quelque rivalité entre régions et une lutte, on peut dire, pour l'indépendantisme.
Je pense que ce n’est pas seulement un problème politique mais aussi social. Cependant,
il y faut dire que chaque région est différente à l’autre. À propos de sa
culture, je trouve le mélange d’art arabe, juif et chrétien très intéressante.
L’année dernière j’ai visité Seville, Cordoue et Grenade (l’Alhambra) et je
suis restée étonnée. C’était un voyage superbe ! Je partage avec vous
quelques photos.
D’autre part, et par rapport à la cuisine, j’adore les
tourons, les homards, les jambons crus et les embutidos arrosé d’un petit vin
de Rueda (verdejo) et les cañas et ses tapitas. En plus, les horaires sont
flexibles ; d'autant plus que la sortie du soir se termine normalement quand le
soleil se lève le lendemain.
L'Espagne peut aussi se vanter d’avoir des personnages célèbres comme le
peintre Francisco de Goya, le médecin Santiago Ramón y Cajal, qui a reçue en
1906 le prix Nobel de médecine, l’écrivain Miguel de Cervantes, qui a écrit le roman L’Ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la
Manche, publié en 1605 et reconnu comme le premier roman moderne, le philosophe
José Ortega y Gasset, entre autres.
De plus, je veux dire que j’aime aussi cette façon de vivre au jour le jour
des espagnols en général et la bonne humeur.
Et pour en finir avec ça, je sauterai du coq à l’âne, et je vous invite à
voir cette vidéo sur l’importance de la gesticulation dans n’importe quelle
langue: http://www.youtube.com/watch?v=IEGamVBeeOc
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Lorena
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