CINÉMA

CAFÈ DE FLORE
(absolument à voir)





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LAWRENCE ANYWAYS
(XAVIER DOLAN)







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DE ROUILLE ET D'OS

 









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COMME UN CHEF











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JEAN RENOIR. PARTIE DE CAMPAGNE.1936






LE FILM








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 HOLY MOTORS

(LES MOTEURS SACRÉS QUI FONT POSSIBLE LA BEAUTÉ DU CINÉMA)



À mon avis, après avoir roulé beaucoup d'idées dans mon cerveau, je pense que le film c'est une métaphore par rapport à la disparition du cinèma, substitué par internet et les réseaux sociaux, et par conséquent de la disparition de la beauté.
Mais on sait que tout ça mourra aussi quelque jour. On peut le voir au cimitière, dans les tombes où on peut lire "visite mon site web".
Vous vous rappelez de ce qui les voitures disent à la fin du film? dernière scène, "les humains ne veulent plus de moteur ni d'action" et la première scène, au début du film, la salle de cinéma avec des spectateurs endormis où morts?.
Tout ce qu'on veut maintenant ce l'univers des jeux  vidéo. Capture de mouvement, second rendez-vous.
Et tous les rendez-vous, c'est ça la magie du cinéma, on peut être tout ce qu'on veut être, on peut vivre toutes les vies qu'on imagine, on peut mourir mais dans la suivante scène, on peut être vifs. On peut être une merde, un amant perdu, un père, une mendiante.....le cinèma c'est magique. Et sans la voiture, le moteur qui fait possible tout ça, le cinèma disparaît. Et la conductrice (le réalisateur, en fait) qui rentre chez soi en attendant que demain on continuera à faire la même chose.

(MAITE)


Avec "Holy Motors", Leos Carax signe son grand retour

 Leos Carax, l'enfant terrible du cinéma français, a présenté Holy Motors à Cannes. Un film qui signe le retour du cinéaste après douze ans d'absence. C'était un retour en grande pompe attendu aussi bien par le monde de la critique que par un public qui a connu Leos Carax à son apogée. Holy Motors, met en scène un homme (Denis Lavant) qui voyage de vie en vie devenant tour à tour homme, femme, PDG, père de famille, meurtrier.... Avec un casting pour le moins folklorique qui compte Kylie Minogue, Eva Mendes et Michel Piccoli, Leos Carax sème une fois de plus le trouble. Les fans s'y retrouvent pourtant, et le film est d'ores et déjà couronné de critiques enthousiastes.



(MAITE)

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 LES CHEVAUX DE DIEU.  Épi d'or SEMINCI 2012











Prix spécial du jury
Prix de la critique et prix de la jeunesse, LA CIENQUIÈME SAISON



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Bienvenus une autre année au Festival du Cinèma de Valladolid. SEMINCI 2012.
On est allés voir le film LA CINQUIÈME SAISON de Peter Brosens et Jessica Woodworth. Pour moi, une métaphore par rapport à l'être humain et sa mauvaise relation avec la nature et avec soi-même.
Au-dessous la bande-annonce.

MAITE




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Des nouvelles du ciné à Valladolid

 INTOUCHABLES


Coucou ! On peut voir « Intouchables » au cinéma Casablanca, pour si quelqu'un était intéréssé.
Je l’ai vu vendredi dernier en version originale !!, cet-à-dire, en français ! Les horaires sont 17.15 h, 19.45h et 22 h.
En profitez-vous ! Et voilà, une partie du film, la danse de l’acteur Omar Sy. Quel rythme ! Quelle manière de danser !



 
Lorena.





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LA JOURNÉE DE LA JUPE

Je suis sûre que vous vous êtes rappelé du film qui nous a parlé Liz, la lectrice d’il y a deux ans et qui nous a visitée récemment. Bon, je vous laisse la bande annonce et quelques informations.
@+ Lorena.
LE FILM: Sonia est professeur de français dans un collège « difficile ». Confrontée à la difficulté d’enseigner et au départ de son mari, elle est au bord de la dépression nerveuse. Le jour où elle découvre un revolver dans le sac d’un de ses élèves, elle s’en empare : dans la confusion, un coup part et blesse l’élève à la jambe. Son dérapage la propulse, malgré elle, dans une véritable prise d’otages : intervention policière et politique, panique des parents, réactions du proviseur et des autres professeurs, arrivée en force des médias… À la faveur de cet huis-clos, les masques tombent. L’extérieur s’invite à l’intérieur…
Pour en savoir plus: LA JOURNÉE DE LA JUPE


BAL


Voici le mel de Marta

Dans le bar Arandino on a continué à parler de quelques films très intéressants. Je vous laisse les liens:

Et une autre qui n'a pas le même sujet mais que je vous recommande (si vous ne l'avez pas encore vu): INCENDIES





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LES EMOTIFS ANONYMES

Voir le film "Les emotifs anonymes" et en français, il vous sera plus difficil maintenant, mais je suis sûr que vous trouverez la manière de faire ça. Il parle de l'amour et de la timidité, de la difficulté de trouver les mots nécessaires pour expresser nos sentiments, les nôtres, et ceux des personnes qui sont auprès de nous.
C'est un très joli film avec des situations qui vous feront sourire.
Enfin, qu'est-ce que c'est l'amour? Il vaut la peine? Ça existe? C'est egoïste?
C'est un instinct? C'est un effect de la norodrénaline? C'est seulement physique?
Il dure trois ans?  C'est à vous de le decouvrir...


POUPOUPIDOU

Il était une fois Marilyn Monroe qui habitait un  petit village en pleine campagne, ou pas? C'était une femme qui avait tout pour être hereuse mais elle n'avait rien...
C'était un écrivain que cherchait la femme de ses rêves et elle était morte et alors,
un jour, il decide de commencer une enquête et d'écrire son prochain roman...

 

J'éspere qu'il vous plaira. Salut à tous et à toutes. Luismi. 
 
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  LE  NOM  DES  GENS

Je suis commencé a voir le film intitulé "Le Nom des Gens" (en espagnol: "Los Nombres del Amor") que vous pouvez trouver online sur quelques sites internet. C'est un film curieux et intéressant par l'opposition des personnages. L'histoire des familles françaises et la recherche de l'identité. L'amour contre les "fachos". Tout cela avec un peu d'humour.

 

Bisous et joyeux 2012 à toutes et à tous. Luismi.

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CE QUE MES YEUX ONT VU

Lucie, jeune étudiante en histoire de l'art, enquête sur les oeuvres du peintre Watteau. Elle est persuadée que certaines de ses toiles cachent un sens encore jamais révélé. Sa rencontre avec l'énigmatique Vincent, muet de naissance, va bouleverser ses recherches, et la plonger au coeur d'une intrigue commencée il y a deux siècles.
    (Maite)


interview de l'équipe du film

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HUIT FEMMES

En 1950, dans une maison, huit femmes se préparent à fêter Noël. Mais le maître de maison est retrouvé mort assassiné, un couteau dans le dos. Tout le monde est soupçonné. Au fur et à mesure de la progression de la pièce, on découvre que chacune de ces femmes aurait eu une raison de le tuer, mais laquelle l'a vraiment fait? Et pourquoi ?

Maite

 Un petit jeu

Les articles, définis ou indéfinis

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JOEUX NOËL

Bonjour,
Est-ce que quelqu’un a vu ce film? Je le trouve bouleversant ! 
J’ai le vu en 2005, pendant la Seminci. Je vous laisse la bande annonce



Et pour en savoir plus le Site Officielle du film Joyeux Noël

J’espère qu'en 2012 l’idéal de vivre dans un monde sans violence, sans guerre soit bien une réalité.

A l’année prochaine. J
Lorena.

PS. Le voici une critique écrite par Marion Defaut.

Joyeux Noël

réalisé par Christian Carion




Pour son second long métrage, Christian Carion nous propose une rencontre miraculeuse sur le champ de bataille comme sur le plateau de tournage. Malgré sa tendance au sentimentalisme, cette célébration de ce qui unit les hommes au-delà des contingences apporte un peu de chaleur au cinéma européen.

Hiver 1914. La Grande Guerre s’enlise dans les tranchées. Dans un champ glacé du Nord, Français, Écossais et Allemands s’épient. À la veillée de Noël, le chant nostalgique des cornemuses s’échappe des souterrains tandis que le Lied d’un ténor berlinois se répand dans la nuit. Bientôt les deux mélodies s’harmonisent, et les soldats sortent pour se rencontrer. Les ennemis stratégiques se reconnaissent frères de guerre.

Est-ce la photogénie des uniformes garance et marine ou l’extinction inexorable des derniers poilus ? En tout cas, depuis quelques années, la Première guerre mondiale s’affiche volontiers sur les écrans. François Dupeyron dans La Chambre des officiers (2001) nous faisait partager la souffrance intolérable des « gueules cassées », alors que Jean-Pierre Jeunet dans Un long dimanche de fiançailles (2004) décrivait l’extrême misère des soldats.

Parce que la guerre reste une machine à broyer les êtres, Joyeux Noël n’épargne pas les images-chocs. Il nous rappelle par exemple que dans le no man’s land gisent les corps sans vie d’anciens camarades à qui il est interdit de donner une sépulture. Une recrue en permission repousse l’étreinte de sa belle parce qu’il a des poux : euphémisme efficace qui souligne la dureté poisseuse de la vie dans cet autre monde. Mais comme le film se veut optimiste, il ne s’interdit pas quelques notes de dérision. Ainsi ces pancartes, d’autant plus drôles qu’elles apparaissent en arrière-plan, indiquant dans le camp écossais « Frog Land, 5 feet », et dans les tranchées françaises « Rosbif Land, 2,5 mètres ».

Dans le film de Carion, pas d’effet de narration, pas de prouesse stylistique, pas de plaisir formel. Facilité ? Peut-être, mais dans ce qui se présente comme un conte à visée universelle, jouer la carte de la transparence est sans doute un choix judicieux. Une telle histoire, dont la force est qu’elle est tirée de faits réels, mérite qu’on lui laisse le champ émotionnel tout entier. Problème : à tout miser sur le scénario, les dérapages sont d’autant plus dangereux. Puisque c’est le jeu, on se laisse sincèrement aller à verser une larme lors de la première scène de fraternisation. Mais trop souvent répété, l’effet perd de son authenticité, on égare la finesse, et l’on coule dans la sensiblerie. Le pas est franchi, dommage, on n’y croit plus.

Il n’en reste pas moins que le projet est ô combien louable. Dénoncer l’absurdité de la guerre, célébrer le sentiment profond d’humanité qui relie malgré tout les ennemis, prévenir contre les discours biaisés, chauvins, à tendance intégriste... Carion, en tant qu’artiste, fait son travail. Il réussit même -et c’est là l’intérêt supérieur de son film- à perpétuer l’esprit de ce Noël 1914. Les temps ont changé : les alliances militaires cèdent leur place aux accords financiers. Tour de force du producteur de Nord-Ouest, Christophe Rossignon, et de tous ceux qui ont réussi à monter une telle co-production, qui réunit des deniers des quatre coins de l’Europe. De même, sur le champ de bataille comme dans celui de la caméra, plusieurs nationalités se sont rencontrées. Qui eût cru qu’un jour un « ch’ti » comique du Nord reluquerait la belle échappée deTroie, et que le père de Billy Elliot parlementerait avec le fils de Good Bye Lenin ! et le hippie de Narco ? Par ce rendez-vous d’acteurs, ce sont différents cinémas qui se télescopent d’abord, puis s’enrichissent et se nourrissent mutuellement pour mieux raconter une Histoire qui s’enracine dans les terres européennes. « Unis dans la diversité », quoi.

La musique, le vin, le foot et partant le cinéma. N’en déplaise aux rabat-joies, il est utile de se souvenir qu’il existe des raisons de s’entendre. Reste à savoir si ce discours pacifique trouvera un écho aux États-Unis où Joyeux Noël concourra dans la catégorie « Meilleur film étranger » des Oscars 2006.

Marion Defaut
Images © Nord-Ouest Production / Photos J.-C. Lother

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INTOUCHABLES


Bonjour à tous et à toutes,

On vient de recevoir une lettre de la Prof pour nous informer d’un nouveau film
" qui fait un tabac en ce moment en France. Il s'agit de "Intouchables". 
Voici le lien de la bande annonceC'est basé sur une histoire vraie, d'une amitié entre un homme riche mais handicapé et un homme noir. Tout le monde en parle en ce moment!!  ;-)  Gros bisous et peut-être à bientôt!! "


C'est magnifique le message, hein? Je vous laisse l’affiche du film et l'interview à François Cluzet, Olivier Nakache, Omar Sy, Eric Toledano.

A la prochaine.
Lorena. 







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LE GAMIN AU VÉLO








Bonsoir mes compagnons,

Je viens de voir le film qui a était réalisé par les frères belges Jean-Pierre et Luc Dardenne. C’est un hymne à la vie, avec toute l’humanité qu’on lui connaît. Je vous recommande de le voir.

Ce drame optimiste raconte la quête éperdue d’un petit bonhomme de 12 ans (Thomas Doret) fuguant son institution d’accueil pour retrouver un père (Jérémie Rénier) qui l’a abandonné. Recueilli par une coiffeuse (Cécile de France), le gamin va faire une mauvaise rencontre qui risque de le faire mal tourner…

Bisous,
Lorena.


Voici l'interview au frères Jean-Pierre et Luc Dardenne


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Le premier jour du reste de ta vie





C'est magnifique...

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GERMINAL


Bonjour à tous et à toutes,

L’autre jour on a parlé du film Germinal, le film franco-belge-italien qu’on peut connu a partir du roman d’Émilie Zola du même titre.

À mon avis c’est une histoire dure, qui raconte la souffrance d’une population misérable et déshéritée : la vie des mineurs, des charbonniers et d’autres à la fin du XIXème siècle.

Le film, qui a été bien réalisé par Claude Berri, est bien représentatif des conditions du travail des mineurs dans le Nord de la France, où le désespoir dans côté et les idées socialistes de l’autre les appellent à faire la grève pour gagner sa dignité comme travailleurs : un meilleur salaire et meilleures conditions du travail.

On peut profiter bien sûr de l’actuation de Gérard Depardieu, Renaud et Miou-Miou. Voici je vous laisse une interview qui a été faite à Renaud par rapport au film et la bande annonce.

Je suis émue par le film racontant des hommes, des femmes avec le courage, l’héroïcité et l’espoir de changer leur vie!

@plus. Lorena.




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SYNOPSIS DE ENTRE SES MAINS

Entre ses mains


Claire rencontre Laurent, et c'est le début d'une histoire d'amour et d'effroi. Très vite, la jeune femme fait un rapprochement entre ce chasseur de femmes et le serial killer qui rôde en ville. Pourtant, elle s'attache de plus en plus à Laurent, à mesure que ses soupçons se précisent. Pourra-t-elle échapper à cette mortelle fascination?





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LES NEIGES DU KILIMANDJARO
Interview avec Robert Guédiguien. De la part de Rodrigo pour lire et apprendre le français
(MAITE)


http://www.festival-cannes.fr/assets/Image/Direct/041159.pdf

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Pour les amants du bon cinéma je vous laisse ici la page d'un nouveau festival de cinéma qui vient de célébrer sa deuxième édition.Son principaux propos c'est celui de reprendre les titres les plus significatifs du cinéma d'auteur mais qui ont beaucoup de problèmes pour accéder aux circuits comerciaux. 
Le Festival est simultanément célébré en Argentina, Mexique, Brésil, Colombie et Espagne d'où le nom 4+1.


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Voici les bandes annonces: LES NEIGES DU KILIMANDJARO et À LA PROCHAINE! AU HASTA LA VISTA,  car je ne sais pas comment traduire le titre, c'est un film belge et ils parlaient le flamand.